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La première édition des Rencontres Montagnes et Sciences aura lieu les vendredi 14 et samedi 15 novembre 2014 au Summum de Grenoble dans le cadre des Rencontres du cinéma de montagne. Cet événement à destination des scolaires et du grand public est notamment organisé par des chercheurs d’ISTerre et du LGGE.
La mission Montagne de la ville de Grenoble organise chaque année depuis 1999 les Rencontres du cinéma de montagne, devenues au fil des ans l’événement le plus important au monde autour des (...)

Le Conseil européen de la recherche (ERC) a annoncé, le mardi 10 décembre 2019, les lauréats des ERC Consolidator Grants 2019 avec 6 grenoblois parmi les 43 lauréats hébergés en France dont une lauréate en sciences humaines et sociales. Les ERC sont des marqueurs forts de l’excellence de la recherche. Après avoir passé la barre des 100 bourses en avril dernier, ces 6 nouvelles bourses (14% des lauréats français) renforce la position d’Univ. Grenoble Alpes parmi les sites les plus dotés de France. Les (...)

Cet évènement mêlant sciences et cinéma est notamment organisé par des chercheurs d’ISTerre et du LGGE. Les Rencontres Montagnes & Sciences proposent un parcours de projections et de rencontres gratuites autour de films d’aventure scientifique en montagne, dans le cadre des Rencontres du Cinéma de Montagne. Elles sont organisées les 18 et 19 novembre 2016 au Palais des Sport de Grenoble, et se déclinent localement en co-organisation avec les collectivités et acteurs locaux, comme au Bourg (...)

La 8ème Biennale du Réseau accélérométrique permanent (RAP) a lieu en Guadeloupe du 4 au 10 Novembre, région la plus sismique de France. Ces journées techniques et scientifiques ont pour objectif d’améliorer la compréhension des séismes et leur impact sur nos sociétés, en rassemblant pour la première fois aux Antilles l’ensemble des acteurs impliqués dans la définition et la gestion du risque sismique.
Deux formations techniques seront également proposées aux professionnels, enseignants, scientifiques (...)

L’étude des sédiments déposés dans le Lac Robert (Chamrousse, Massif de Belledonne, Alpes) a permis à une équipe de chercheurs français [1], dont des scientifique d’ISTerre / OSUG, de reconstituer l’historique de la pollution atmosphérique dans cette région sur les 10 000 dernières années. Il s’avère que l’activité minière dans le massif des Grandes Rousses (Alpes d’Huez) durant l’âge de Bronze, il y a environ 2 500 ans, a induit une pollution atmosphérique en mercure et antimoine équivalente à celle observée aujourd’hui. Cette pollution a été limitée géographiquement, mais elle a persisté pendant plus de 2000 ans.

Que font les chercheurs de l’équipe Géodynamo pour fêter les 20 ans de la création de leur équipe ? Un congrès scientifique... deux jours de travail au vert à Autrans dans le Vercors pour apprécier le travail accompli mais surtout pour discuter les nouveaux axes de recherche dans ce domaine : Comment une planète, comme la Terre, fabrique-t-elle son champ magnétique ?
Il n’y a pas de meilleurs moments que de partager et discuter nos découvertes... Pour cela, ils ont invité leurs collaborateurs de (...)

Pierre-Yves Bard, chercheur IFSTTAR à ISTerre dans l’équipe Risques, témoigne dans la presse algérienne (journal "La liberté") en tant que spécialiste de génie parasismique. Une occasion de revenir sur les collaborations scientifiques des sismologues d’ISTerre avec leurs homologues algériens.

L’arc alpin occidental est caractérisé par une activité sismique modérée mais constante. De nombreuses études (géodynamiques et sismologiques, etc.) soulignent les questions scientifiques persistantes liées aux processus dynamiques alpins et au taux de déformation associé (résultant des phases de collision continentale tardive) et à l’évaluation de l’aléa sismique et des risques associés. La surveillance sismique dans les Alpes françaises du Nord a été lancée en 1987 avec l’installation du premier réseau (...)

6 chercheurs, 3 ingénieurs et techniciens, 19 doctorants, 19 post-docs, 14 CDD ingénieurs et techniciens sont arrivés au laboratoire en 2011... sans compter les 32 visiteurs qui ont passé plus d’une semaine dans nos murs... Dynamique ISTerre ?

L’abondance de nanoparticules de dioxyde de titane dans l’environnement provenant des activités humaines pourrait constituer un problème environnemental potentiel. Pour identifier et distinguer les nanoparticules de dioxyde de titane de sources naturelles et d’origine anthropique, des techniques synchrotron ont été utilisées pour caractériser les nanoparticules dans des boues de station d’épuration et dans un sol agricole.
Les nanoparticules de dioxyde de titane sont l’un des nanomatériaux les plus (...)